“
Ma voix t’accompagnera.
Milton Erickson
”
L’hypnose Ericksonienne donne accès à la personne et à ce que l’on appelle son inconscient et lui permet de découvrir des ressources et des nouvelles manières, souvent plus créatives, de faire face à la vie. Par des focalisations sur nos ressentis tant physiques que psychiques et émotionnels, par tous nos sens et par des images et des métaphores, nous revisitons nos représentations. L’état hypnotique est toujours une auto-hypnose. Le/la thérapeute facilite le processus. Très vite, la personne peut apprendre à pratiquer par elle-même.
L’hypnose Ericksonienne est particulièrement indiquée dans la prise en charge du stress aussi post-traumatique, de l’anxiété, des phobies, de la douleur, des troubles du sommeil, des phobies et d’autres pathologies.
Comme dans tout processus thérapeutique, il faut qu’il y ait une rencontre et une bonne relation thérapeutique qui s’installe. C’est une thérapie corporelle. On peut dégager 3 phases: l’induction pendant laquelle le/la patiente plonge dans son monde intérieur, dans un deuxième temps, il y a dissociation de la personne qui observe ses sensations, son vécu interne et un troisième temps, pendant lequel, la personne intériorise les suggestions faites par la thérapeute.
Rendez-vous
Durée de la séance : Entre 45 minutes et 1 heure
Prix : 70 €
Lieu : Le cabinet se trouve au Sud de Bruxelles à Ruisbroek près d’Uccle et Forest ou en visio via Zoom
—
Pour prendre des renseignements ou un rendez-vous, contactez Gina Scarito
Par téléphone : 0483/04 60 68
Témoignages
Chantal
Le travail thérapeutique a eu lieu par épisodes, étalé sur plusieurs années.
Pour moi l’hypnose c’est devenu un peu comme une hygiène de vie. Quand je donne cours, je fais un décompte et cela m’aide beaucoup à me centrer, à être dans le « ici et maintenant ». Je me sens plus ancrée sur mes pieds et plus en relation avec mes étudiants. J’arrive à mieux contrôler mon bégaiement.
Auparavant, lorsque je donnais cours, j’étais dans la fuite du regard de l’autre, j’avais peur du jugement ou du regard interrogateur que la personne pouvait avoir parfois face à mes blocages. Lorsque tu bégaies, tu ne veux pas être là, tu es comme en lévitation à un mètre du sol. Tu veux aller vite et finir le plus rapidement possible. Tu anticipes les mots « difficiles », tu les voies presque littéralement devant les yeux. Grâce à l’auto-hypnose je peux ralentir le flux de ma parole et je ne suis plus dans l’anticipation des mots difficiles.
Cela m’a aussi aidée à dire à mes étudiants que parfois je bégaie, à être plus à l’aise avec cela, à l’accepter, à m’accepter telle que je suis avec cette particularité …
En classe, j’ai réussi à décloisonner mon territoire. Je suis clairement plus dans l’échange. J’ai pris de l’assurance. Mon enseignement est plus vivant.
J’avais déjà découvert l’hypnose suite à un arrêt tabac et cela avait été une réussite.
En savoir plus…
From the Blog
Pourquoi nous ne dormons pas ?
J’ai lu pour vous Pourquoi nous ne dormons pas ? de Darian Leader, Editions Albin Michel Voilà un livre qui déconstruit courageusement une série d’injonctions…
Auto-hypnose express
Bien que l’hypnose soit de plus en plus connue du grand public et qu’elle soit intégrée au sein de nos hôpitaux en complément des soins ou en anesthésie,…